GRUNDIG REVUE 1993
GRUNDIG REVUE 1994
Formation
Formation
Formation
Formation
Formation
Formation
Formation
Formation
Formation
Formation
tv.video.schemas
Grundig 91 92 fr
Grundig 95 96 fr
GRUNDIG PASSION
GRUNDIG PASSION
Grundig historique allemand
Grundig historique allemand suite
Grundig 83 84 85 fr
Grundig 86 87 88 89 fr
Grundig 1990 fr
Grundig 91 92 fr
Grundig 95 96 fr
Grundig 1997 fr
Grundig 1998 fr
Grundig 1999 fr
Grundig 2000 fr
Grundig 2001 fr
Grundig 2002 fr
Grundig 2003 fr
Grundig 2004 fr
Grundig 91 92 fr
Grundig 95 96 fr
Livre d'or

Cliquez ici pour visualiser la revue 1993 TV VIDEO
Cliquez ici pour visualiser la revue 1994 TV VIDEO

Retrouvez les revues françaises TV-VIDEO GRUNDIG de 1993 à 1994, en cliquant sur une des couvertures et consultez l'historique ci-dessous. Chaque exemple en gras, a sa photo en médaillon qu'il suffit de survoler pour identification et cliquer pour agrandir. Mon avis de technicien est affiché via une à cinq étoiles sur chaque photo.


1993.
Châssis (50Hz) CUC 4410.
Châssis (50Hz) CUC 5301, 5305, 5310, 5350, 5360, 5371, 5500, 5510 et 5511.
Châssis (50Hz) de haut de gamme CUC 7880 et 7890.

Châssis 100Hz première génération (principe du balayage entrelacé avec une mémoire de trame) DIGI 3. Dossier 100Hz à consulter ici. L'alimentation était synchronisée au balayage ligne.


J'ai délibérément omis de mentionner le DIGI 4, qui n'est qu'une pâle évolution du DIGI 3 à la réputation aussi sulfureuse que je n'ai jamais eu entre les mains. J'ai de sérieux doutes quant à sa commercialisation en France. Il existe un schéma du M95 105/9 IDTV avec le châssis DIGI 4 CUC 1892 (disponible dans ma schémathèque) qui aurait dû figurer dans la revue Grundig française de 1993. Cependant, Grundig France préféra attendre encore un an pour le commercialiser sous la même référence, mais avec le nouveau châssis DIGI 5 CUC 1893. Et cela s'est avéré être une décision salvatrice.


La grande nouveauté de cette année résidait dans les châssis CUC 7880 et 7890 haut de gamme 50Hz, toujours dotés d'un système PIP à 2 tuners permettant de regarder simultanément deux programmes différents. Ils offraient, comme d'habitude, cette sonorité caractéristique digne d'un Grundig, en particulier dans les infrabasses. Véritables références en termes de performances. A une exception près. Les premiers modèles furent affectés par une erreur d'assemblage qui entraîna l'omission d'une résistance spécifique, R 367. Ce composant, dont la valeur était détaillée dans le schéma technique en fonction du tube utilisé, était tout simplement remplacé par un shunt vers la broche 24 du module RVB Sync. En conséquence, le téléviseur recevait un signal de retour ligne L' sans aucune limitation en courant, provoquant sa mise en sécurité au démarrage. C'était tout couillon, encore fallait-il le savoir.

A cette époque, il n'était pas encore possible de procéder à une mise à jour des CUC 7851-7861-7880 et 7890 par le biais d'un ordinateur. Heureusement, l'EEPROM était toujours sur support.


Ces châssis inauguraient essentiellement des IC de nouvelle génération comme le TDA 9160A gérant directement, par Bus I2C, tous les paramètres de géométrie via l'OSD. Une commande trame composée de deux signaux en opposition de phase VA et VB apparaissait rendant la commutation 16/9 simplissime. Cela profitait au flambant neuf TDA 8350Q Philips, ampli trame 50Hz et commande est / ouest 110°. Il deviendra rapidement réputé pour sa fiabilité très relative du fait de la chaleur dégagée. Il n'incluait plus de Flyback et ne produisait donc plus, à partir du 24 V, une tension doublée par cellule composée d'une diode + condensateur commutés pour le retour trame. Il fallait, de ce fait, l’alimenter en 16V (trame + commande est-ouest) et 45V (retour trame). Il incorporait un premier ampli OP gérant les signaux issus de l'oscillateur trame VA et VB. Ainsi formatés, ils étaient dirigés vers 2 autres amplis OP internes, puis vers les étages de puissance intégrés, montés en parallèle. L'ensemble constituait un push-pull de puissance symétrique apte à attaquer directement le déviateur. La chute de tension mesurée aux bornes de résistances externes spécifiques au TDA 8350Q commandait l'étage de détection de retour trame, acheminant l'information du courant de balayage vers les amplis différentiels VA et VB. Une analyse interne de la situation commutait la bonne tension (16 ou 45V) suivant l'aller ou le retour du spot. Ce circuit intégré générait également l'impulsion positive de retour trame pour le SSC et pouvait même l'inhiber par une tension continue en cas d'anomalie interne, hélas peu efficace. Le but théorique étant de bloquer le débit du tube cathodique afin de ne pas le marquer. Si vous avez mal la tête après cette lecture, c’est normal.


A ce niveau de gamme, le télétexte CEEFAX Top devenait aussi  FLOF (Full Level One Feature), c'est-à-dire proposant un choix d'orientation pour les autres thèmes par 4 couleurs rouge, verte, jaune et bleue à l'écran, répliquées sur la télécommande en vue de passer directement à la rubrique souhaitée. Grundig allait vite ajouter de la mémoire avec pour objectif d'emmagasiner de 8 à 512 pages suivant les châssis... Le dernier 100 Hz DIGI 100 proposera même 2000 pages…


Les téléviseurs Monolith M70-685 PIP/Text et M70 680 Text Euro, peu répandus en France, offraient une puissance sonore maximale de 2x 40W grâce à deux circuits intégrés BF TDA 2052 alimentés par un + G à 38v. Le châssis CUC 5371 était si rare qu'il n'existait pas de documentation complète en français. Comme c'était souvent le cas chez Grundig, il fallait se débrouiller avec les versions allemandes ou les informations techniques provisoires dans notre langue. En bas de page, vous trouverez un ensemble de schémas génériques essentiels pour le dépannage. J'accorde exceptionnellement 4 étoiles à ces deux CUC 5000 en raison de leur design élégant et de leur amplificateur BF soigné, qui aurait bien mérité un subwoofer et des prises DIN HP de l'Ancien Monde, la signature des premiers Monolith.

Le M55-685 TEXT 50Hz, stéréo, était l'avant dernier téléviseur à proposer un tube 55cm, 110° Philips. C'était bien dommage, car, à l'instar des modèles précédents, il offrait une qualité d'image respectable. Il bénéficiait enfin de série du télétexte. La nouvelle fonction de commutation proposée entre les formats 4/3 et 16/9 était sans intérêt compte tenu de l'image lilliputienne que ça reproduisait sur un 55cm. De plus, il perdait sa capacité de réception Multinorme (il passait de L, L', B, G, I, D, K, K', M à seulement L, L', B, G, I).


On assistait à la fin d'une époque marquée par la domination de la mécanique VHS MVS IV de Panasonic au sein de la série des magnétoscopes VS 9xx, y compris le dernier GV 255 HIFI encore synonyme d'exception. Seulement deux modèles, le GV 206 Euro et le GV 216 Euro au design discutable allaient être présentés en tant que nouveautés "non stéréo". La future gamme adoptera le mécanisme Turbodrive de Philips.


Grundig lançait son premier lecteur/enregistreur audio numérique, le DCC 305, de fabrication Philips. Une machine pragmatique qui utilisait des cassettes compactes digitales compatibles avec les anciens supports analogiques audio K7 à 4.75 cm/s. La propreté des têtes était une condition indispensable à son bon fonctionnement. Ce procédé DCC, co-inventé par Philips et Matsushita, sera abandonné en 1996

 

1994.
Châssis (50Hz) CUC 5200, 5301, 5305, 5310, 5350, 5360, 5361 et 5371.
Châssis (50Hz) CUC 6300.
Châssis (50Hz) de haut de gamme CUC 7851 à 7951 dont la nouvelle génération Dolby Prologic (DLP).

Châssis 100Hz deuxième génération - DIGI 5 (avec principe du balayage entrelacé avec une mémoire de trame). Ce nouveau châssis 100Hz devenait enfin sympa à réparer.


Le concept MEGATRON s'invitait dans les téléviseurs 50 et 100Hz équipés d’excellents tubes cathodiques japonais Toshiba à la technologie particulière. Il permettait une gestion différenciée de la netteté entre le centre et les bords de l'écran. Ce focus dynamique n’existait pas chez son concurrent Philips. Grundig rajoutait une modulation de la vitesse de balayage pour séparer les zones claires des zones foncées, plus un excellent traitement vidéo et vous obteniez une image exceptionnelle. Que demander de plus?


Apparition de l'arrêt total du téléviseur via la télécommande sur quelques modèles apportant un confort apprécié et surtout une fiabilité exemplaire. Il fallait appuyer 2 fois de suite sur la touche veille. De mémoire, je ne changerai aucun interrupteur à déclenchement par électro-aimant. Ils se révéleront increvables. Juste un peu bruyant dans une chambre à 2 heures du matin quand il fallait éteindre sans réveiller Madame…


Afin d’alimenter une partie des modules FI-son et ampli BF,  Grundig introduisait dans ses récents châssis CUC 7851 à 7890, 50Hz, une nouvelle tension de 12V baptisée +F et + L sur le DIGI 5 100Hz. Il n’y avait plus là de + M (16.5V) régulée de manière classique. Grundig favorisait le transistor BC 337/40 (T351) en aval du tuner. On pouvait se demander quelle était la motivation de ce fabricant pour concevoir une alimentation aussi spécifique et isolée. Il semblait probable que cela ait été choisi pour éviter de générer des bruits parasites dans les écouteurs ou les haut-parleurs par rayonnements des balayages et autre alimentation à découpage, directs ou par retour de masse. Le châssis CUC 6365 était un parfait exemple de ce qu’il ne fallait pas reproduire en audio surtout au casque. On entendait aussi bien la source sonore que le balayage ligne… Mais qui dit transistor en plus, dit panne possible. Si T 351 se coupait et ça arrivait, il n'y avait pas qu'une absence de son, mais aussi d'image et d'afficheur (si équipé) avec toujours présence de haute tension.


Grundig allait créer la légende avec le M72-795/9 Top. Une nouvelle entité rassemblant le meilleur de la technologie avec son CUC 7851 au traitement vidéo parfait, associé au "cultissime" tube cathodique du moment en 72cm et format 4/3, le Toshiba A68 KZN 696 X01 50Hz à focus dynamique annoncé avec une durée de vie de ses canons 5 fois supérieure à la norme. Sans oublier son revêtement antistatique CCS protégeant efficacement l'écran contre la poussière. Une image absolument magnifique et une signature audio digne d’un Grundig surtout dans les infrabasses offrant 2 x 50 W avec subwoofer. Sans oublier les 3 prises péri, grand luxe à l’époque. J’ai l’air d’en faire des caisses, mais c’était réellement une image chromatique vive, respectueuse d’un blanc intense et exempte de taches de pureté. Un modèle bicolonne atypique et tout aussi performant allait suivre. Le E 72-911/9 Top F.A Porsche au design vraiment exclusif. Un son racé avec toujours  2X50w + subwoofer. Il évoluera dès mars 1994 en son cinéma que Grundig baptisera Dolby Surround Sound avec le E 72-911/9 DPL châssis CUC 7861. Son traitement audio allait être particulièrement gratiné avec 5 canaux 120/75W par des modules BF facilement réparable et DSP à la technologie CMS heureusement échangeable à l'époque. Consultez ici mon dossier Dolby Surround. Contrairement au M72-795/9 Top qui ne possédait que 2 HP + subwoofer, la version Porsche non DPL adoptait deux tweeters supplémentaires. Hélas, l'impédance inférieure au cahier des charges (3 ohms environ au lieu de 4) de ces petits haut-parleurs allait provoquer une surcharge et une mise en sécurité des BF d'où l'absence de son par intermittence à fort volume. Ca pourrait prêter à rire si les techniciens n’étaient pas obligés pour les remplacer, de démonter totalement le téléviseur. Il fallait précisément ôter le tube + le châssis + 10 vis + déclipser la façade sans rien péter des 18 attaches. Le tout sans déformer l'aluminium des enjoliveurs. Idem pour un éventuel accès au clavier à 4 touches, prise casque et récepteur IR. Que du bonheur... Rien ne valait le M72-795/9 Top.


Sur ces mêmes châssis CUC 7851F et 7861F, le transistor ligne était au départ un BU 508A ou S2000. Calibré trop juste, il pouvait entrer en résonance comme Grundig l'avait déjà connu par le passé avec perte de chroma sur une partie de l'image. Ici, il pouvait provoquer des bandes verticales "flottantes" à la con au centre de l'écran sur une image claire à froid. Le remède passait obligatoirement par la pose d'un transistor Toshiba 2SD1432 agréé Grundig et surtout ne venant pas d'un grossiste peu scrupuleux. Je rappelle qu'il y avait toujours sur ce type de transistor, dans un but de déstockage de la jonction base / émetteur, une résistance interne ou externe d'une centaine d'ohms suivant le fournisseur. En cas de mauvais choix, le démarrage du balayage ligne devenait impossible.


Un téléviseur 70cm, 16/9, 50Hz, le ST 70-169/9TOP, apparaissait et connaîtra un certain succès bien que cette fois, son tube Toshiba ne me fera pas monter au rideau (d'où mes 3 étoiles). Il exploitait le nouveau circuit intégré SAA 4980. C'était un compresseur de signaux Y, U, V permettant de ramener une image de format 4/3, à l'origine étalée sur tout l'écran 16/9, dans un format correct pour être vu sans défauts de géométrie. Dans ce cas, une image 4/3 étendue sur tout un écran 16/9 allait se voir compresser chaque ligne visible, passant de 52us à 39us. Comme il n'était pas prévu de relier cet IC au bus I2C, il fallait lui adjoindre une interface de commutation (16/9<=>4/3), via le SAA 1300 qui, elle, y était reliée. Pour lever le doute sur ce module atypique, il suffisait de ponter broche à broche les connecteurs UVY et UVY1. La masse étant broche 1. Dans cette configuration, la géométrie de l'image n'était évidemment plus correcte, mais il était possible d'effectuer des contrôles qualitatifs sur le signal vidéo et la chrominance.


L'excellent châssis CUC 6000 pour la nouvelle gamme basique 50Hz toujours sans aucun composant CMS sur la carte mère (photo châssis modèle allemand donc sans module FI France) naissait avec deux erreurs de jeunesse sur notre territoire.

1) Un effet de voile en haut de l'écran, vite résolu par une modification simple et rapide dans le module FI à base de TDA 4454.

2) Une chroma SECAM décrochant à la moindre imperfection du signal, demandera un an de patience avant d'avoir enfin une solution efficace. En effet, le changement du STV 2110 par la nouvelle version STV 2110B à la fiabilité et à l'efficacité sans failles devenait indispensable et exigeait tout de même le remplacement d'une quinzaine de composants gravitant autour. Sans oublier le petit réglage final indispensable sur la self d'identification SECAM F131, voire son remplacement parce que collée par son propre verni.

Le seul transistor CMS repère CT2281 en sortie vidéo du module FI créé pour la France, allait vite faire chier son monde. Il n'était pas rare de voir l'amplitude du signal FBAS se réduire ou disparaître en sortie FI par la faiblesse chronique de son unique BC 858B. Mais quelle plaie, ces transistors lilliputiens.

Quant aux hôteliers, ils pouvaient légitimement se plaindre, sur un parc avec série CUC 6000, d'un moirage intermittent. En veille, ces téléviseurs ne coupaient pas totalement la tension commutée 12V +B' de leurs tuners, générant par oscillations, un signal résiduel se réjectant dans le réseau HF. Sur un parc complet, imaginez ce que cela pouvait donner. Et encore un truc à la con!!! C'était heureusement facilement solutionnable par un petit câblage aussi rapide que sympathique.

Pour la première fois, la mesure de frein de faisceau crête "SSB", qui jusqu'ici, était toujours prélevée sur le graphitage du tube via l’incontournable résistance de faible valeur (entre 270 et 330 ohms) + diode Zener limitant la tension SSB à - 4.7V, était abandonnée. Désormais, cette fonction sera déterminée par l'analyse du courant de retour "SW" du module CI tube. Un niveau critique mesuré par 2 transistors provoquera une limitation proportionnée du contraste via une diode. Lire ici le rôle des contrôles de frein de faisceau SB et SSB.

Ce châssis deviendra l'un de mes préférés tant par sa fiabilité que par sa conception "simplissime".


Grundig développa pour certains pays européens de l'époque, son CUC 6301 Asis (Système d'information et de sécurité adressable). Concept novateur dans l'hôtellerie interactive. Ce châssis offrait une solution complète pour la gestion de deux systèmes de "pay-TV" distincts : la "pay-TV" linéaire et la vidéo à la demande. Asis permettait également l'accès à d'autres services hôteliers tels que les jeux vidéo, Internet et les courriels. Grundig proposait aussi un système plus léger appelé Vidéo à la carte qui offrait une expérience de divertissement personnalisée et flexible. Ces solutions permettaient aux établissements hôteliers d'offrir à leurs clients une large gamme de services interactifs et de divertissement. Le système Asis utilisait un PC pour communiquer avec les TV via le câble d'antenne, en transférant les données à une fréquence de 46,7 MHz vers les téléviseurs et en utilisant le canal de retour TV à une fréquence de 13 MHz. Je n’en préciserai pas d’avantage pour ne jamais avoir testé ni entendu parler de ce procédé. Le schéma des modèles P40 et P45-64/4 ASIS et T55-64/4 ASIS avec CUC 6301 est disponible par simple curiosité sur la colonne de gauche ou directement ici.


Le Monolith M55-775 S Euro (CUC 5360), proposant une sortie stéréo de 2x20 W à travers 4 haut-parleurs, adoptait pour la dernière fois un tube Philips de 55 cm offrant un angle de vision de 110°, reconnu pour son excellente qualité et sa faible profondeur. A sa sortie, il ne disposait pas nativement, et heureusement, d'un décodeur NICAM intégré. En effet, la première tentative d'intégration d'un décodeur NICAM sur ce châssis s'était soldée par un échec cuisant. Cependant, pour sa phase finale de commercialisation, ce téléviseur au design contemporain, revêtu d'un coffret gris mat, était vendu avec un boîtier NICAM externe exempt de tout défaut.


Les magnétoscopes GRUNDIG étaient construits désormais par PHILIPS avec la très respectable mécanique Turbodrive qui, après quelques petites erreurs de conception, fonctionne encore aujourd'hui. Une nouvelle gamme sympa arrivait dans les rayons avec les GV 405, 406 (celui de ma mère est toujours en service), 415, 416 et 435 Euro. On a tous rencontré cette première panne chronique de bruit de mixeur et changé par centaines, cette fameuse vis sans fin (repère 48A sur schéma) fendue ou décollée tournant dans le vide... Philips avait créé le kit Worm si j'ai bonne mémoire. Il y a eu aussi encore et toujours ce problème de "pompage" vidéo avec Canal + qui n'en finira donc jamais de nous faire chier où la modification d'un condensateur était de mise et la retouche des réglages PLL et AGC fortement conseillés dans la FI. Puis quelques tambours de têtes impossibles à dissocier du moteur. Il fallait remplacer l'ensemble sur les premiers modèles. Et enfin, ce défaut erratique d'absence de son lors d'un enregistrement sur piste mono qui allait perturber plus d'un appareil. La présence de limaille de fer dans les connecteurs des têtes d'effacement pleine piste et combi en était la cause, mettant à genoux l'oscillateur d'effacement. La soufflette fut nécessaire avant de sortir l'oscillo. Dans le pire des cas, il fallait vérifier au moins 7 composants, voire carrément ressouder une nouvelle filerie sur les connecteurs. Que du bonheur!!!


La programmation simplifiée SHOW VIEW par simple code faisait son apparition dans la nouvelle gamme VHS avec des télécommandes impressionnantes par le nombre de leurs fonctions où l'isolement de la carcasse d'une des 2 piles dans le logement dédié était obligatoire sur certains modèles afin d'éviter un contact fâcheux avec l'électronique.


Le constructeur d'outre-Rhin lançait une nouvelle ligne HIFI Fine Arts. Design joli, mais souvent en panne pour le haut de gamme de la série 1000 Slim Line System infrarouge…



  

Formations
Formations
Formations
Formations
Formations
Formations
Formations
Formations
Formations
Formations
Schema CUC 6301 Asis
Schematheque Grundig TV Video
M95-775 PIP TOP
M169-92 IDTV D2-MAC
M95-795 9 PIP TOP

TV haut de gamme CUC 7890 (50 Hz) 1993: M 95-775 PIP TOP.
TV haut de gamme CUC 1891 première génération 100 Hz 1993: M 169-92 IDTV D2-MAC.
TV haut de gamme CUC 7890 (50 Hz) 1994: M 95-795 /9 PIP TOP.
TV haut de gamme CUC 1892 DIGI 5 2ième génération 100 Hz 1994: M 95-105/9 IDTV.

M95-105 9 IDTV
GV 255 EURO HIFI
GV 465 EURO HIFI

Magnétoscope haut de gamme 1993: GV 255 EURO HIFI
Magnétoscope haut de gamme 1994: GV 465 EURO HIFI

Revues GRUNDIG FRANCE TV-VIDEO 1993 1994 avec leurs histoires.
Déverrouillage parental et accès aux menus service ici
Cliquez sur une image pour l'agrandir.

  

GRUNDIG Passion - 1930.80 Al - 81.2011 Al - 1983.1985 - 1986.1989 - 1990 - 1991.92 - 1995.96 - 1997 - 1998 - 1999 - 2000 - 2001 - 2002 - 2003 - 2004

Merci de signer mon livre d'or avant de partir
Cliquez ici pour me faire un don via le service sécurisé PAYPAL.
Cliquez ici pour me faire un don via le service PAYPAL.