GRUNDIG REVUE 1990
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Livre d'or

Cliquez ici pour visualiser la revue 1990  TV VIDEO

Retrouvez la revue française TV-VIDEO GRUNDIG de 1990, en cliquant sur sa couverture et consultez l'historique ci-dessous. Chaque exemple en gras, a sa photo en médaillon qu'il suffit de survoler pour identification et cliquer pour agrandir. Mon avis de technicien est affiché via une à cinq étoiles sur chaque photo.


1990.

Châssis à plat (50Hz) CUC 3300, 3400, 3410, 3491 et de haut de gamme CUC 3600 à 3850.
Chassîs à plat (50Hz) CUC 4200, 4400, 4410, 4510 stéréo et de haut de gamme CUC 4620 et 4635.
Châssis à plat de haut de gamme (50Hz) CUC 5836 à 5891.

Châssis à plat et vertical 100Hz première génération CUC 4890 (principe du balayage entrelacé avec une mémoire de trame). L'alimentation était synchronisée au balayage ligne. Dossier 100Hz à consulter ici ou dans la colonne de gauche. 


Un boîtier singulier, nommé Feature Box, apparaissait pour gérer l’image numérique du mystérieux téléviseur 100 Hz M70-100HDQ (F), hélas précurseur d’une lignée dont les performances peineront à convaincre. Vous trouverez sa fiche produit et ci-dessous des photos de son châssis CUC 4890, intégrant alimentation, balayage ligne et commandes (merci à Patrice du 54). Grundig dut fréquemment intervenir sur cet appareil, sujet à de nombreuses pannes. Seul le tube cathodique Philips se distinguait par sa fiabilité.

L’approche adoptée visait à supprimer le scintillement, bien que ce dernier ne constituât un réel désagrément que pour une minorité. Tenter d’imposer une technologie aussi coûteuse qu’inutile à un public exigeant relevait du pari audacieux, d’autant plus que la survie de la marque était en jeu.
Parce qu’elle relevait du mythe, la télévision exigeait un progrès tangible pour justifier un bouleversement télévisuel. Or, les prétendus bénéfices du 100 Hz s’avérèrent plus anecdotiques que révolutionnaires. Pire encore, les mouvements rapides entraînaient une perte de netteté. Confier une part essentielle du traitement vidéo au module Feature Box, à la puissance de calcul bestiale, aboutissait pourtant à un résultat décevant. L’image semblait aussi agile qu’une enclume, bien en deçà d’un bon 50 Hz Megatron des années 90.

Dès l’origine, cette technologie montrait ses limites sur les mouvements rapides, affichant parfois la même ligne à répétition, ce qui altérait la précision des contours à la demi-image suivante. Pour pallier ce défaut, un système de comparaison d’images fut intégré, permettant de transmettre une trame complète en cas d’écart détecté. Mais cette correction s’avéra inefficace, notamment sur les textes à défilement horizontal, où elle générait un flou persistant. Ce phénomène était particulièrement visible lors du générique de fin de l’émission La Cuisine des Mousquetaires avec la regrettée Maïté, offrant une démonstration peu flatteuse du procédé. A ces défauts s’ajoutait une consommation énergétique excessive, source d’une chaleur importante qui réduisait la durée de vie des composants.

Il eût été plus avisé de perfectionner les Monolith 50 Hz, indiscutables références, qui, équipés des tubes Philips Black Line Style ou de leur équivalent Toshiba, auraient permis d’atteindre une qualité d’image incontestable. Ce qui devait être une avancée majeure sombra dans une complexité inutile et aboutit à une régression manifeste. En somme, vouloir réinventer la roue pour la rendre carrée.

Rabelais écrivait : "Science sans conscience n’est que ruine de l’âme." Cette expérience en fut une parfaite illustration. Nombreux furent les clients à constater leur erreur après l’achat, face à un appareil qui, sous ses airs haut de gamme, s’avérait être un fardeau. Quant au châssis, mieux valait ne pas s’y attarder… Une véritable broche à foin, comme se plaisent à dire nos amis québécois.


Deux problèmes allaient affecter le M70 100 HDQ CUC 4890 dès son lancement :

Ce cauchemar visuel passait par intermittence en mode veille. J'ai déjà évoqué, au début de ce dossier sur Grundig France (1983), un phénomène récurrent de flash potentiel qui traversait la capacité de retour ligne. Sept ans plus tard, ce problème persistait, mais cette fois sur le haut de gamme 100 Hz. Le téléviseur se mettait en veille de manière intempestive en raison de flashs intermittents sur le condensateur C 514 (150pF/FKP/1600V), générant des impulsions indésirables perturbant le processeur. Il était essentiel de remplacer ce composant par un 150pF 10% FKP 1 de 2KV.

Ce fleuron, cette prouesse technologique, que dis-je, ce chef-d'œuvre... présentait une sensibilité de la télécommande à peu près équivalente à du Mercurochrome sur une jambe de bois. Il était impératif d'appliquer un filtrage drastique à l'alimentation du récepteur infrarouge générée par ce "chaudron nucléaire à double turbo fusion" afin d'améliorer sa réceptivité. Voir l'information technique à ce sujet. Quand je pense que cette chose était le modèle de prestige chez Grundig France en 1990... Sans commentaire.


Pour mettre en évidence le manque de professionnalisme et de diligence de Grundig Allemagne concernant le CUC 4890, il convient d'examiner la configuration de sa mémoire. A l'origine, les paramètres étaient stockés dans une SDA 2526, totalement dépourvue de protection en écriture, exposant ainsi certaines données à des risques de perte. Les problèmes majeurs se manifestaient principalement par des décharges statiques du tube, impactant le BUS I2C et, finalement, les valeurs de géométrie. Fort heureusement, lors de la phase 2, basée sur la PCF 8582, une protection en écriture fut introduite au moyen d'un condensateur. Enfin, pour la phase 3, un cavalier fut ajouté afin de permettre l'écriture sur une SDA 3526. Ce sont les propriétaires malchanceux de la phase 1 qui en subirent les conséquences. Il est clair que le lancement sur le marché de ce téléviseur français 100 Hz d'origine aurait dû être différé, du moins jusqu'à la phase 2. Un projet aussi coûteux devrait toujours s'accompagner d'une période de validation substantielle avant d'autoriser sa vente. On peut toujours y croire ! Pour de plus amples informations, veuillez consulter la note technique qui accompagne ce texte. Les effets des décharges statiques pouvaient aussi affecter le décodeur télétexte, lequel, de manière imprévisible, imposait en permanence l'indicatif de la chaîne à l'écran au lieu des 3 secondes réglementaires. Seuls les experts de la NASA étaient habilités à le désactiver en raison d'une procédure par télécommande indigne de Grundig, impossible à retenir pour le commun des mortels (voir la note technique à ce sujet). La simplicité n'était clairement pas la priorité ici !


En 1990, l'introduction des nouveaux châssis CUC 4000 en 50 Hz et CUC 4890 en 100 Hz révolutionna la façon de régler le son des téléviseurs. Cette avancée permettait aux utilisateurs de régler indépendamment le volume des haut-parleurs et celui du casque. Concrètement, les téléspectateurs souffrant de problèmes d'audition pouvaient enfin gérer leur handicap de manière autonome, sans perturber la diffusion sonore par les haut-parleurs. Cette option était particulièrement appréciée par les seniors et a ouvert la voie à l'utilisation généralisée des casques sans fil. Pour ajuster le volume des haut-parleurs, il suffisait d'utiliser les touches classiques de réglage + et - de la télécommande. Quant au casque, il fallait simplement passer au préalable par la touche AUX de la TLC, puis régler le volume. Les paramètres étaient ensuite mémorisés par la méthode habituelle. Cette singularité offrait également l'avantage d'exploiter l'écoute au casque de la deuxième langue lors des émissions en double langage, conformément aux normes BG.


En cette même année, l'IR DATA Programmer ID 2 était introduit pour les livreurs et les techniciens. Une fois programmé, il avait la capacité de configurer, en une seule opération, tous les paramètres nécessaires sur les téléviseurs couleur Grundig, à partir du CUC 4000. Cela incluait la configuration des canaux, des normes et des indicatifs pour une zone géographique donnée, que ce soit en réception traditionnelle ou par câble. L'IR DATA était compatible pour 39 programmes différents, chacun ayant un indicatif de 4 caractères. Il utilisait le récepteur infrarouge des téléviseurs pour transférer ses données.


Les téléviseurs 50 Hz étaient donc désormais associés au respecté CUC 4000. L'intégration du tripleur au transformateur haute tension (THT) représentait une innovation majeure, éliminant définitivement les amorçages, parfois dramatiques. Cette évolution renforçait considérablement la fiabilité des téléviseurs de la marque, tout en rendant le THT autonome par rapport au transformateur d’alimentation. La technologie monotransfo du CUC 3000 appartenait ainsi au passé. Il demeure toutefois regrettable que Grundig ait tardé à adopter cette solution déjà exploitée par Philips dès 1976 sur le TVC 7, Thomson à partir de 1981 sur l’ICC2, et Océanic en 1984 avec le châssis F3. C'était un vrai plaisir pour toute la profession de réparer un CUC 4000. Sa mise en veille était assurée par le nouveau régulateur télécommandable LM 317 fonctionnant à 12V. Il ne fallait surtout pas le confondre avec le LM 317T, caractérisé par une inversion des entrées et sorties. Ce châssis introduisait également de nouveaux fusibles temporisés, sous forme de cartouches noires, en amont et en aval du posistor. Il était essentiel de les remplacer par des fusibles Schurter identiques. En effet, ces dispositifs de protection possédaient un temps de fusion plus long que les fusibles temporisés classiques de type 5x20 en verre strictement interdits ici. Et encore un stock de pièces à prévoir ! Avec l'avènement d'un THT fiable, la nouvelle EEPROM SDA 2526 était dorénavant à l'abri des amorçages du tripleur. Elle remplaçait sa petite sœur, la SDA 2216, présente dans les tuners des châssis mono CUC 2000 et CUC 3000, atteignant ainsi un niveau de fiabilité exemplaire et logée maintenant sur le châssis principal.


Le tuner bénéficiait d'une cure de jouvence dans le CUC 4000 pour devenir le 2950410121, avant d'être intégré dans les CUC 68XX dès 1992. Son clone, le 2950410122, apparaissait pour répondre aux besoins d'espace restreint du Globe Trotters P25-449/12 et de son inséparable CUC 4200 (avec une fiche d'antenne non coudée). Ce dernier bloc tuner sera également utilisé dans les futurs CUC 5XXX, CUC 78XX, ainsi que dans les déplorables 100Hz, le DIGI 3 et le DIGI 4. Vous pouvez consulter ici leurs fiches techniques.


Quelques incidents sympathiques allaient rendre la vie difficile pour certains revendeurs. Une ligne blanche horizontale, qui n'était pas due à une défaillance de l'ampli trame ni à un TDA 2579 tuberculeux, avait pour origine la résistance R2439 de 1M8, coupée sur la broche 4 du TDA 2579 intégré au module Fi synchro. Cette même résistance dans le CUC 3000 restait fiable avec, il est vrai, une valeur plus basse (820k). Certains clients signalèrent des interruptions audio en mode AV de manière sporadique, généralement causées par une défaillance du TDA 4481, surtout avec un décodeur Canal +. Sans oublier un CUC 4000 qui pouvait devenir totalement silencieux après une période prolongée de fonctionnement. Dans ce cas, il était impératif d'envisager deux options en mesurant le BUS I2C. Si la tension était supérieure à 5V, le remplacement du régulateur concerné était nécessaire. S'il était inférieur à 5V, la mémoire SDA 2526 était en cause.

Le tube Toshiba 55cm A51.JAR.43x01 monté sur le T55.440 Euro, ou encore le TVR de l'époque, pouvait se retrouver totalement rincé après à peine 2 années d'utilisation raisonnable. Défaut de conception qui ne sera corrigé par le constructeur japonais qu'à partir de janvier 1992. Par conséquent, tout ce qui était monté chez Grundig avant cette date était susceptible de plier du genou très vite. Je les remplaçais souvent par des écrans Philips réputés pour leur durabilité après quelques modifications sur le châssis.


Les châssis stéréo de la série CUC 4000 équipés de l'IC amplificateur BF TDA 2009 A pouvaient occasionner un dysfonctionnement particulier. Un ronflement intermittent en mode veille. Ce problème, bien que surprenant, ne résultait pas d'un filtrage défectueux ni d'une commande audio défaillante. En réalité, il était imputable à une conception déficiente de l'IC lui-même. Pour résoudre ce souci, il était nécessaire de se référer à la date de fabrication du composant. Si ce dernier était marqué "89118", les quatre derniers chiffres correspondaient en fait à l'année (91) et à la semaine calendaire (18) de sa production. Ainsi, même aujourd'hui, il est sage de se méfier d'un TDA 2009 A stocké depuis bien longtemps et fabriqué avant la semaine 19 de l'année 91, car il risque de générer des ronflements inopportuns ce flemmard.


Certains modèles stéréo étaient sujets à un phénomène de claquement dans les haut-parleurs lors de leur mise hors tension (ST 70-465 Euro, ST 63-450 Euro, ST 55-450 Euro...). Bien que ce problème n'ait aucune conséquence grave, il pouvait susciter des inquiétudes, en particulier chez les personnes âgées. Une solution était disponible en réalisant un câblage volant consultable ici. De plus, il convient de préciser que la mise en veille du téléviseur avant d'appuyer sur l'interrupteur permettait d'éviter cet épiphénomène.

 

Sur les premiers châssis CUC 4000, 4500 et 4510, des variations sonores, voire des craquements émanant des haut-parleurs, furent causés par des oscillations imprévisibles dans le signal de commande trame. Ceci entraînait des perturbations sur le processeur via le bus I2C en raison de retours de masse à des potentiels différents. Encore un truc à la con, mais heureusement vite résolu. Il y eut aussi, à bas niveau sonore, une variation inexplicable impossible à trouver pour un non-initié. L'EEPROM, pour la mémorisation des données son et image, n'était pas forcément livrée vierge à cause de certains tests et il n'était pas possible, pour Grundig, de s'assurer de sa virginité. Par conséquent, certaines de ces données résiduelles pouvaient perturber la gestion du son. Pour résoudre ce problème, il suffisait de maintenir enfoncée la touche F en façade et d'allumer le téléviseur par l'interrupteur M/A jusqu'à ce que TF1 s'affiche à l'écran. Cette manipulation permettait au processeur d'ordonner l'écriture sur l'EEPROM de toutes les valeurs moyennes, écrasant par la même occasion d'anciennes données corrompues. Quel farceur ce CUC 4000.


Il est impossible d'évoquer les problèmes sonores du CUC 4000 sans mentionner le récent circuit intégré TY 45018 (équivalent au MC 44130). Ce composant "2.0", intégré aux modules FI européens (schéma ici) et Multinorme (schéma ici), prenait en charge la gestion complète du son stéréo ainsi que des commandes associées : volume, tonalité, balance, commutation audio, son spatial et sortie casque. C'était tout juste s'il ne proposait pas de faire le café et la vaisselle. Comme souvent chez Grundig, les débuts de production furent marqués par des imperfections. Par exemple, le module FI stéréo européen (2950414216) générait un ronflement audible dans les haut-parleurs lorsque le niveau sonore était au minimum, que ce soit via la réception HF ou la péritel. Pour corriger ce problème, il suffisait d’insérer une résistance de 4,7 ohms entre la broche 28 du circuit intégré et son alimentation, puis de remplacer le condensateur C2288 (470 µF, 16 V) par un modèle de 680 µF, 16 V. La première génération (reconnaissable à l’absence de R2281, une résistance de 1,8 MΩ entre les broches 23 et 28 de l’IC) avait également tendance à produire des claquements dans les haut-parleurs au démarrage. Pour y remédier, il suffisait d’ajouter cette fameuse résistance de 1,8 MΩ. Cependant, la seconde génération, bien qu’intégrant cette correction, n’avait toujours pas inclus de résistance de 4,7 ohms entre l’alimentation et la broche 28 du circuit intégré, une omission regrettable, pour le moins mesquine. Les modules stéréo Multisystème, utilisant le même circuit intégré, pouvaient aussi produire des claquements similaires (même à l'arrêt). La solution consistait à remplacer le condensateur sur la broche 23 par un modèle de 1 µF, tout en ajoutant encore et toujours une résistance de 1,8 MΩ entre les broches 23 et 28. Par ailleurs, il était recommandé d’augmenter la capacité du condensateur C668 sur le châssis principal, de 1000 µF à 3300 µF, 25 V, afin de prolonger l’alimentation +B après extinction. En dépit de ces ajustements, il faut reconnaître que le TY 45018 s’avérait robuste et bien conçu, surpassant nettement les anciens TDA 6200 et TDA 6600, souvent capricieux et bien plus fragiles. Chez Grundig, le traitement du son semblait décidément relégué au second plan.


Le CUC 4635 ne pourra pas échapper au problème des claquements dans les haut-parleurs lors du démarrage et de l'extinction. C'était un problème récurrent... La marque allemande, je le répète, a souvent éprouvé des difficultés à éliminer ces bruits parasites. Quel que soit le châssis d'ailleurs. Ou plutôt, elle n'y accordait que peu d'attention. Sur le module de 2x35W équipé des TDA 2040, il était nécessaire de modifier la valeur des résistances R 4001 et R 4101 de 100K à 10K (ce qui corrigeait la charge sur l'étage BF). Ce défaut était également constaté sur le même module BF du téléviseur 100 Hz M70 100 HDQ CUC 4890 à la réputation peu enviable. Schéma BF 2x35w modifié ici.


Le THT nouvelle génération avait un poids conséquent et pouvait présenter le problème suivant. A la première mise en service, écran noir alors que l'alimentation et les balayages étaient opérationnels. Grundig France stockait ses matériels dans des entrepôts à priori un peu exigus. Le non-respect d'un nombre maximum d'appareils les uns sur les autres était souvent constaté par Dominique, mon commercial Grundig de l'époque. Ca se soldait fréquemment par des téléviseurs à la façade fendue par compression à travers l'emballage, généralement sous l'écran. J'en ai changé des caisses..... Mais le fait de les déstocker de si haut, sans ménagement ou lors d'un transport musclé, pouvait provoquer une cassure sur le châssis, au niveau du Transfo Haute Tension difficilement visible à l'œil nu. Je rappelle que la HF parasite générée par le balayage ligne à plus de 15 kHz devait être correctement filtrée afin de ne pas planter le processeur. Ici, ce filtre était constitué de deux condensateurs de 0.22uf chacun. Lors d'un choc important, ces deux composants passifs étaient, par le fait, isolés du THT. Le processeur SDA 2023 recevait alors une information classique niveau haut + toute la HF parasite en pleine tronche via l'information de sécurité "Schutz", véhiculée elle-même par l'info de frein de faisceau moyen "SB" qui plantait aussitôt le cerveau de l'appareil. Pour les non-initiés, c'était une recherche de panne fastidieuse, mais heureusement rarissime…


Depuis les années 60, Grundig s'efforçait de préserver ses tubes cathodiques en neutralisant le spot lumineux lors de l'extinction du téléviseur, dans le but d'éviter tout dommage à la dalle, avec plus ou moins de succès d'ailleurs ! Afin d'obtenir des résultats optimaux, il était impératif d'intervenir dans trois cas de figure:

A la mise en veille.

Lors de la mise en sécurité.

A la moindre coupure EDF.

Il faudra attendre le CUC 4000, pour profiter, dans la durée, du respectable transistor S298T assurant une meilleure efficacité par sa rapidité de commutation en fonction veille ou sécurité. Cliquez ici pour en comprendre le fonctionnement.

Sur ce type de montage (CUC 4XXX, CUC 5XXX, DIGI 5...), la résistance R531, parfois identifiée comme R594, était initialement une résistance de 100 kΩ à couche carbone. Toutefois, il était impératif de la remplacer systématiquement par une version à couche métallique. Il est à noter que, si le schéma pouvait indiquer une valeur de 20 kΩ, il fallait retenir 100 kΩ. Ce choix, bien que plus onéreux, offrait une meilleure stabilité thermique et donc une constance accrue des caractéristiques électriques, garantissant ainsi une durabilité indispensable à la préservation des écrans, dont les remplacements étaient à l'époque bien trop fréquents.


En France, l'exploitation exclusive du télétexte européen CEEFAX chez Grundig débutait officiellement à partir du CUC 4000. Sauf erreur de ma part, Antiope fut abandonné après le CUC 2000 qui fut le seul à proposer un mixte Antiope / CEEFAX. Il était tout de même possible d'adapter les modules CEEFAX VT 2805 (mémoire de 8 pages) ou VT 3805  (mémoire paginée 3x8) sur un CUC 3000 allemand, mais au prix d'un lourd investissement.

Dorénavant, les téléviseurs haut de gamme étaient équipés du télétexte intégré, mais dans certaines situations, il pouvait ne pas fonctionner par intermittence. Pour résoudre ce problème, il était nécessaire de supprimer le condensateur C 2801 de 10nF entre la broche 12 (TE) du connecteur et la pin 5 du processeur TMS 7040. Vous pouvez consulter ici le schéma d'une des versions haut de gamme d'origine pour plus de détails. Tandis que sur les modèles plus basiques en 50Hz, il devenait possible d'ajouter un module VT 4005 optionnel, disponible à l'achat au prix de 269 francs. Ce télétexte de première génération, WST (World System Teletext), ne permettait pas de mémoriser plusieurs pages, mais seulement de progresser pas à pas ou par numéro de page. Malicieuse, cette carte était capable d'afficher en continu l'indicatif de la chaîne. Pour qu'il s'efface de lui-même après 3 secondes, veuillez consulter la documentation technique de l'époque. WST évoluera rapidement vers le standard TOP dès 1991, puis vers TOP FLOF à partir de 1993. La technique du télétexte était relativement simple. Il fallait décoder les informations des lignes 19-20 et 332-333, qui étaient réservées à cet effet, et ignorer la vidéo de la chaîne en cours. Sous condition d'une réception sans échos excessifs, l'ennemi juré du télétexte comme d'ailleurs un surplus de gain. En cas de caractères erronés, il était nécessaire d'atténuer le signal d'antenne et d'ajuster progressivement un potentiomètre jusqu'à ce que le phénomène s'estompât. On a tous connu le sommaire page 100 du Télétexte de la 2 et consulté les dernières nouvelles ou le loto sur ce support une fois dans notre vie.

Et justement, la généralisation du CEEFAX dans les années 90 souleva quelques défis logistiques. Chez Grundig, je rappelle que le CUC 4000 fut le premier à intégrer cette option de manière économique. Toutefois, cet engouement eut son revers : de nombreux modules furent renvoyés en SAV alors qu’ils fonctionnaient parfaitement.

Des revendeurs, peu enclins à se familiariser avec ce nouveau service d'infos aux textes et graphismes rudimentaires, préféraient retourner les platines sans chercher à comprendre l’origine du problème, se déchargeant ainsi de leur responsabilité. Etait-ce le téléviseur ou la réception qui était en cause? Les stations techniques recensèrent une diversité de signalements, parmi lesquels :

Le logo de la chaîne qui n’apparaissait plus ou restait affiché en permanence.

Certaines touches dédiées au télétexte qui ne répondaient pas sur la télécommande.

Une heure erronée en OSD, attribuée au télétexte, y compris sur des chaînes ne l’exploitant pas.

Un affichage du texte comportant de nombreuses erreurs selon l’émetteur.

L’apparition intempestive d’une incrustation de l’heure sur fond jaune.

Ces dysfonctionnements, ainsi que leurs solutions et explications respectives, étaient détaillés dans cette information technique de 1992 concernant les CUC 4xxx et CUC 5xxx. Il faut aussi rappeler que des phénomènes bien connus, comme l’amorçage du tube ou du THT, pouvaient, dans de rares cas, perturber le télétexte via le bus I2C et provoquer certains des problèmes signalés ici.

Un imbroglio qui exigeait une solide expertise technique afin de proposer une solution acceptable au client. Et ce n’était pas toujours évident. Il y a toujours un fossé entre la théorie du constructeur, parfaite par définition, et la pratique, souvent capricieuse.


Le deuxième modèle de TV 50Hz à tube 110° (PHILIPS) 55cm M55-575 MULTI que j'ai possédé des décennies, faisait son apparition. Je me suis toujours demandé comment les CUC 4620 et 4635 pouvaient être rentables de par la pléthore de composants et cartes enfichables (schéma complet en bas de page). On pouvait recenser de nombreux modules dont deux de commande (processeurs maître et esclave), tuner, FI synchro, Chroma, base de temps trame, BF et en option, le télétexte. La mise en veille sur cette gamme de TV arrêtait totalement l'alimentation par mise à la masse de la pin 5 du TDA 4600. Il fallait donc une tension permanente en stand-by, qui ici, était succincte. Elle était prélevée directement sur le secteur redressé, limitée en puissance par une résistance de 6K8 en 7 watts, transitait par une diode 1N4007 et réduite à 15V par une diode Zener. Pour être filtrée a minima puis régulée à 5v par un MC 78L05. Le fait de mettre la LED de veille en série sur la ligne du 15V m'a toujours laissé perplexe. Et comme on prélevait une tension du secteur tout en devant respecter l'isolation d'un châssis froid, il fallait utiliser des optocoupleurs pour les ordres qui arrivaient et partaient du processeur maître à la fiabilité relative. Grundig exploitait soit un MC 68HC04J3 (20 pins), soit un XC 94308 (28 pins) pour cette fonction. La gestion SAV de ces modules CI Inter secteur présentait une complexité extrême. L'indisponibilité prématurée de certaines versions nous obligeait à faire des modifications à n'en plus finir (petit aperçu ici). Très onéreux tout ça!!!!. Et pourtant je vénérais mon CUC 4620. Rappel des sécurités pour les châssis CUC 4620 et CUC 4635 dans le document ci-joint.

Chez Grundig, il était fréquent d'observer un effet de moirage sur les entrées AV. Cela découlait généralement de conflits mineurs entre les masses, les boucles de masse et diverses interférences électromagnétiques. Le CUC 4635 et son T70 460 EURO en constituaient un parfait exemple avec le moirage chronique de son entrée AV. Dans de telles situations gérées à la MacGyver, la résolution du problème nécessitait plus souvent l'utilisation d'un cutter que d'un fer à souder. Voir la note de service ici.


Lors du dernier trimestre de 1990, Grundig eut l'idée brillante de lancer le téléviseur TVC 7000 Euro équipé du CUC 4510 F. Il comportait un ingénieux logement de 435 mm de large sur 90 mm de haut, protégé par une grille amovible, conçu pour accueillir un magnétoscope compatible avec tous les VHS de la série 600. Ce produit fiable fut officiellement présenté dans la Grundig revue de 1991. L'année suivante, la version TVC 7005 Euro fit son apparition, dotée d'un tube Black Line offrant un meilleur contraste et, surtout, d'un masque Invar qui garantissait de meilleures performances thermiques, éliminant les tâches à l'écran, toujours en 70 cm. La deuxième génération était équipée du châssis CUC 4511 F. Un concept vraiment ingénieux qui, malheureusement, ne sera jamais reproduit. Que de souvenirs ! Voir ici ou dans la colonne de gauche, la fiche produit du TVC 7000 Euro.


Les premiers écrans Black Line puis Black Line Style apportant une réelle amélioration du contraste en 63 et 70cm (+ masque en Invar supprimant, je le répète,  les tâches sur zones claires des 55, 63 et 70 cm) commençaient à équiper certains modèles. Consultez ici l'histoire des tubes cathodiques couleur. La destruction chronique du TEA 5101A puis TEA 5101 A/D à l'extinction sur le CI tube donna du fil à retordre aux ingénieurs allemands. Le remède fiable n'apparaîtra que 6 ans plus tard. Lire ici la malédiction des tubes cathodiques Black Line. Suivant votre navigateur, visionnez ou téléchargez ici ou ci-dessous, la vidéo d'un M55-575 italien avec vue sur les modules incluant une FI non Multinorme. Son châssis s'apparentait au CUC 4620 de chez Grundig France. Mais à y regarder de plus près, son alimentation était basée sur un TDA 4605 avec optocoupleur à proximité pour la régulation. La version française exploitait encore le TDA 4601. Ce n'était donc déjà plus un CUC 4620 mais bien un CUC 5820 rare à l'époque en Europe.


Le design moderne du téléviseur P45-445 Euro allait séduire les jeunes. Cependant, il pouvait également les surprendre, tout comme le reste de la gamme, en présentant des problèmes de zapping intermittent et de variations sonores. Ces dysfonctionnements étaient attribuables à un récepteur infrarouge de nouvelle génération, le TFMS 3300, qui se révélait trop sensible au soleil. Pour y remédier, l'ajout d'un condensateur de 4.7nF 63V, entre ses broches 1 et 3, était nécessaire, ainsi que l'application d'un film plastique opaque du commerce sur sa cellule de réception, encore et toujours à la manière de MacGyver.


Le téléviseur portable P25-449/12, conçu pour fonctionner sur batterie entre 10 et 30 volts et sur secteur de 80 à 260 volts, était introduit sur le marché. Un modèle particulièrement apprécié des chauffeurs routiers et des bateliers en raison de sa petite taille et de sa réception HF quasi mondiale dans la zone de réception de l'émetteur. Mon globe-trotter préféré avec son fidèle tube HITACHI et son excellent CUC 4200. Un châssis qui pouvait être fragilisé au niveau du THT en raison de son poids lors d'un transport agité. Pour renforcer la structure, une équerre était disponible en tant que pièce service (note technique ici). Ce portable sous-alimenté par une batterie avec un câble très long, comme c'était souvent le cas en caravane, pouvait avoir des difficultés à démarrer. Pour y remédier, une modification (schéma ici) consistait à insérer en série une CTN de 4,7 ohms après la self L680 sur la borne 2 du transformateur d'alimentation (+A) afin de réduire la pointe de courant au démarrage, qui, je le rappelle, atteignait facilement 12 A. Cette modification sera appliquée à d'autres téléviseurs nomades de la marque. Ce petit farceur pouvait également se mettre en sécurité lorsqu'on activait l'interrupteur. La raison était un peu tordue. Au moment de la mise en marche et de l'augmentation de la haute tension, le saladier du haut-parleur, compte tenu de sa proximité avec le châssis et le tube cathodique, se chargeait statiquement pour ensuite se décharger à travers le bornier serti du haut-parleur. Dans l'obscurité, on pouvait de temps en temps observer une magnifique petite étincelle sur ce bornier. Le processeur capricieux, mais résistant, réagissait en imposant le mode veille. La solution était très simple : il suffisait de mettre le saladier à la masse en reliant le rivet creux de fixation du bornier du haut-parleur à la ligne (-) de son propre câblage (schéma ici). Cette mésaventure pouvait également survenir sur d'autres téléviseurs de différents châssis, généralement jusqu'à une diagonale de 51 cm.


Remplacement du magnétoscope haut de gamme par le VS 665 EURO HIFI [3 moteurs] que j'ai possédé surnommé: "la boite à pain". Un produit fiable et équipé d'un excellent mécanisme japonais Panasonic MVS V avec une recherche visuelle arrière plus réactive grâce à un moteur supplémentaire. Il offrait des performances vidéo et sonores (HIFI) honorables et surtout, comme toute la série des VS 6xx, devenait enfin totalement compatible avec Canal+. Il était dommage de devoir attendre plus de 5 ans pour bénéficier d'un magnétoscope capable d'enregistrer de manière autonome une chaîne cryptée. Les Allemands n'étaient pas très réactifs à ce niveau-là ! On découvrait également la nouvelle gamme basique comprenant les VS 600 FR [2 moteurs], VS 620 FR [2 moteurs], VS 625 Euro [2 moteurs] qui sera ajouté en cours d'année et VS 645 Text Euro [2 moteurs] équipés cette fois de la mécanique Panasonic MVS IV. Je ne leur accorde pas 5 étoiles pour l'unique raison que sans télécommande, plus de programmation possible. Il convient de noter que les modèles VS 500 et 505 FR de la génération précédente n'avaient reçu que trois étoiles pour la même raison et l'absence de compatibilité totale avec Canal+.


A partir de 1990, et pendant au moins deux ans, Grundig allait fabriquer des magnétoscopes pour Sony, destinés à une grande partie de l'Europe. En France, on trouvait l'entrée de gamme équivalente au VS 600 FR, avec une façade gris clair ou blanche, un détail qui m'échappe aujourd'hui. Jamais je n'aurais imaginé une telle sous-traitance possible.

Une collection de VHS Sony, basée sur les séries VS 6XX et VS 7XX, allait rapidement voir le jour. Ces modèles se distinguaient avant tout par la disposition de leur carte électronique principale, clipsée différemment selon la génération :

  • Pour les VS 6XX, elle se trouvait en bas du bâti, avec des composants traditionnels accessibles par le dessus.

  • Pour les VS 7XX, elle se situait à l'envers sur le niveau supérieur du boitier plastique, les composants classiques étant en dessous. Les IC de gestion moteurs (tambour, cabestan et recherche visuelle arrière, si équipée) étaient intégrés dans le module alimentation.

Sony fournissait toujours ses propres télécommandes. En Europe, certains de ses magnétoscopes "Made by Grundig" faisaient leur apparition : SLV 212 VP, SLV 217 CP (Espagne), SLV 270 UB (II), SLV 273 VP, SLV 310, ou encore le SLV 474 VP. Mention spéciale au SLV 425 VP, qui arborait un look entièrement Sony tout en étant 100 % Grundig, à s'y méprendre.

Cependant, cette sous-traitance n’était pas sans inconvénient, notamment sur le coût des pièces détachées. Sony se fournissait chez Grundig en appliquant une marge bénéficiaire conséquente, doublant parfois le prix initial. L'industriel allemand, de son côté, avait instauré une politique d'échange standard pour l’ensemble de ses modules. Par exemple, le bloc modulateur-tuner des séries VS 6XX et VS 7XX pouvait être affecté par une panne prématurée du circuit intégré PLL TDA 3202-2, dédié à la synthèse de fréquence. Ce composant, difficile à trouver en pièce détachée (sauf chez certains grossistes à des prix exorbitants), nécessitait un échange standard chez Grundig pour 376 francs (*). Chez Sony, cette option n’existait pas : le module complet devait être acheté pour près de 900 francs (*) ou réparé au composant (encore fallait-il le savoir et avoir un compte client), une option hélas trop souvent négligée par des techniciens peu enclins à intervenir. De même, la carte électronique principale, en grande partie équipée de SMD (Surface-Mounted Devices = petits éléments passifs et actifs montés en surface) chez Grundig, était disponible en échange standard pour une somme variant de 600 à 950 francs (*), selon les options. Chez Sony, la même carte, réservée aux stations, coûtait plus de 1800 francs (*) si elle était prévue en pièce service. Cette aberration aurait dû, encore une fois, inciter les techniciens à dépanner au composant. Hélas, les moins expérimentés, parfois démotivés, mal formés, ou dépourvus d’équipements onéreux adaptés aux éléments de surface, privilégiaient des devis dissuasifs. Ainsi, le remplacement d’un bloc modulateur-tuner défectueux chez Sony, sans compter la main-d’œuvre, pouvait facilement atteindre 1600 francs pour le client final. Une somme astronomique pour l’époque, notamment pour les revenus modestes. Quant à une panne de carte principale, je vous laisse imaginer l’addition ! Voir la vidéo muette d'un châssis Sony / Grundig SLV 270 UB II équivalent à la série française VS 6XX ci-dessous. (*) Prix d'achat pour le dépanneur.


La firme Grundig de Nuremberg continuait de concevoir et fabriquer ses TV en toute indépendance de son nouvel actionnaire principal Philips qui jettera l'éponge en 1997.

Mecanisme VHS MVS IV Panasonic
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Mecanisme VHS MVS V Panasonic
Cliquez ici pour visualiser la fiche produit du TVC 7000 EURO
Schematheque Grundig TV Video
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Equivalences Chips CMS
Article du Haut parleur de 1990 sur la visite de l usine Grundig de Creutzwald
Schematheque Grundig TV Video
ST 95-595.9 TEXT

TV haut de gamme CUC 5891 (50 Hz) 1990: ST 95-595/9 TEXT.
TV haut de gamme CUC 4890 première génération 100 Hz 1990: M70-100 HDQ.

M70-100 HDQ
VS 665 EURO HIFI

Magnétoscope haut de gamme 1990: VS 665 EURO HIFI.

Appareil récompensé par un IF Design AWARD en 1990
Cliquez ici pour visualiser la video muette d un chassis de magnetoscope Sony SLV 270 UB (II) construit par Grundig (equivalence serie VS 6XX).
Magnétoscope SLV 425 VP SONY construit par Grundig.
Magnetoscope Sony SLV 212 VP construit par Grundig.
Chassis magnetoscope Sony construit par Grundig (equivalence serie VS 6XX).
Telecommande SLV 425 VP magnetoscope Sony.
Magnetoscope SONY SLV 273 VP construit par Grundig.

Revue GRUNDIG FRANCE TV-VIDEO 1990 et son histoire.
Déverrouillage parental et accès aux menus service ici
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