GRUNDIG REVUE 1990
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Livre d'or

Cliquez ici pour visualiser la revue 1990  TV VIDEO

Retrouvez la revue française TV-VIDEO GRUNDIG de 1990, en cliquant sur sa couverture et consultez l'historique ci-dessous. Chaque exemple en gras, a sa photo en médaillon qu'il suffit de survoler pour identification et cliquer pour agrandir. Mon avis de technicien est affiché via une à cinq étoiles sur chaque photo.


1990.
Châssis (50Hz) CUC 3300, 3400, 3410, 3491 et de haut de gamme CUC 3600 à 3850.
Chassîs (50Hz) CUC 4200, 4400, 4410, 4510 stéréo et de haut de gamme CUC 4620 et 4635.
Châssis de haut de gamme (50Hz) CUC 5836 à 5891.

Châssis 100Hz première génération (principe du balayage entrelacé avec une mémoire de trame). L'alimentation était synchronisée au balayage ligne. Dossier 100Hz à consulter ici.


Un étonnant boîtier, baptisé Feature Box, apparaissait pour contrôler l'image numérique du mystérieux téléviseur 100Hz M70-100HDQ (F) doté du châssis CUC 4890. Malheureusement, il se révélera être le précurseur d'une longue série aux performances extrêmement médiocres. Voir les photos du châssis CUC 4890, alim+balayage ligne et commandes ci-dessous (merci à Patrice du 54). Ce téléviseur était régulièrement repris par Grundig, se trouvant impuissant face aux multiples pannes. Seul le tube cathodique Philips se distinguait par sa fiabilité. Il était tout de même curieux d'opter pour une technologie 100 Hz dans le but d'éliminer un scintillement qui ne gênait personne. En outre, les effets spéciaux proposés relevaient plus du gadget que d'une véritable avancée technologique. Malheureusement, comme une bonne partie des informations de la construction vidéo était pondérée par le calcul savant du module Feature Box, vous vous retrouviez avec une image terne et moins nette que sur un 50Hz. Pire encore, vous perdiez la capacité de lire un générique de fin rapide se déplaçant horizontalement. Il était à la fois facile et frustrant de le constater dans l'émission culinaire animée par Maïté, "La cuisine des mousquetaires". Pour décourager un éventuel acheteur, c'était un exemple incontestable… Une technologie lourde, onéreuse et vorace en énergie. D'autre part, la chaleur émise fatiguait prématurément les composants électroniques. En résumé, pas grand-chose de valable à retenir de cette piètre réalisation.


Les téléviseurs, 50 Hz, étaient désormais associés au nouveau et respecté CUC 4000. Une amélioration notable avec l'intégration d'un tripleur dans le transformateur haute tension (THT), éliminait définitivement les problèmes d'amorçage, parfois dramatiques. Cette avancée contribuait grandement à la fiabilité des téléviseurs, tout en permettant au THT de fonctionner désormais indépendamment du transformateur d'alimentation. Il en était fini de la technologie monotransfo du CUC 3000. C'était un vrai plaisir pour toute la profession de réparer un CUC 4000. Sa mise en veille était réalisée à l'aide du nouveau régulateur télécommandable LM 317, fonctionnant à 12V. Il était important de ne pas le confondre avec le LM 317T, avec entrée et sortie inversées.

Ce châssis introduisait également de nouveaux fusibles temporisés, sous forme de cartouches noires, en amont et en aval du posistor. Il était essentiel de les remplacer par des fusibles identiques. En effet, ces dispositifs de protection, conçus par la société allemande Schurter, possédaient un temps de fusion plus long que les fusibles temporisés classiques de type 5x20 en verre. Il ne fallait donc jamais utiliser les fusibles standards. Et encore un stock de pièces à prévoir !

Le tube Toshiba 55cm A51.JAR.43x01 monté sur le T55.440 Euro, ou encore le TVR de l'époque, pouvait se retrouver totalement rincé après à peine 2 ans d'utilisation. Défaut de conception qui ne sera corrigé par le constructeur japonais qu'à partir de janvier 1992. Par conséquent, tout ce qui était monté chez Grundig avant cette date était susceptible de plier du genou très vite. Je les remplaçais souvent par des écrans Philips réputés pour leur durabilité après quelques modifications sur le châssis.


Certains modèles stéréo étaient sujets à un phénomène de claquement dans les haut-parleurs lors de leur mise hors tension (ST 70-465 Euro, ST 63-450 Euro, ST 55-450 Euro...). Bien que ce problème n'ait aucune conséquence grave, il pouvait susciter des inquiétudes, en particulier chez les personnes âgées. Une solution était disponible en réalisant un câblage volant consultable ici. De plus, il convient de préciser que la mise en veille du téléviseur avant d'appuyer sur l'interrupteur permettait d'éviter cet épiphénomène.

Sur les premiers châssis CUC 4000, 4500 et 4510, des variations sonores, voire des craquements toujours dans les HP furent observés. Ces problèmes furent causés par un train d'oscillations imprévisibles sur la commande trame, perturbant ainsi le processeur via le bus I2C par retour de masses aux potentiels différents. Encore un truc à la con, mais heureusement vite résolu.

Il y eut aussi, à bas niveau sonore, une variation inexplicable impossible à trouver pour un non-initié. L'EEPROM, pour la mémorisation des données son et image, n'était pas forcément livrée vierge à cause de certains tests et il n'était pas possible, pour Grundig, de s'assurer de sa virginité. Par conséquent, certaines de ces données résiduelles pouvaient perturber la gestion du son. Pour résoudre ce problème, il suffisait de maintenir enfoncée la touche F en façade et d'allumer le téléviseur par l'interrupteur M/A jusqu'à ce que TF1 s'affiche à l'écran. Cette manipulation permettait au processeur d'ordonner l'écriture sur l'EEPROM de toutes les valeurs moyennes, écrasant par la même occasion d'anciennes données corrompues. Quel farceur ce CUC 4000.


On ne peut pas relater les problèmes sonores du CUC 4000 et ignorer le récent IC TY 45018 (=MC 44130). Ce nouveau composant "2.0", intégré dans les modules FI européens et Multinorme, gérait le son stéréo et toutes les commandes afférentes (volume, tonalité, balance, commutation audio, son spatial, sortie casque...). C'est tout juste s'il ne faisait pas le café et la vaisselle. Les premiers téléviseurs qui allaient l'exploiter essuyèrent les plâtres quelques temps comme toujours chez Grundig. Le module FI stéréo européen (schéma ici) générait un ronflement dans les HP, niveau son au minimum, que ce soit via la HF ou la péritel. Il suffisait d'intercaler entre la pin 28 de l'IC et son alimentation, une résistance de 4.7 à 10 ohms au cas par cas pour que tout rentre dans l'ordre. Les modules Multinorme (schéma ici) avec toujours le même IC pouvaient générer un claquement dans les HP au démarrage. Le fait de remplacer pin 23 du TY 45018 le condensateur existant par un 1uF et de câbler entre ses pins 23 et 28, une résistance de 1.8 Mohms résolvait le problème. Je dois reconnaître que comparé aux brontosaures cardiaques TDA 6200 + TDA 6600, le TY 45018 était increvable et de bonne facture.


Le THT nouvelle génération avait un poids conséquent et pouvait présenter le problème suivant. A la première mise en service, écran noir alors que l'alimentation et les balayages étaient opérationnels. Grundig France stockait ses matériels dans des entrepôts à priori un peu exigus. Le non-respect d'un nombre maximum d'appareils les uns sur les autres était souvent constaté par Dominique, mon commercial Grundig de l'époque. Ca se soldait fréquemment par des téléviseurs à la façade fendue par compression à travers l'emballage, généralement sous l'écran. J'en ai changé des caisses..... Mais le fait de les déstocker de si haut, sans ménagement ou lors d'un transport musclé, pouvait provoquer une cassure sur le châssis, au niveau du Transfo Haute Tension difficilement visible à l'œil nu. Je rappelle que la HF parasite générée par le balayage ligne à plus de 15 kHz devait être correctement filtrée afin de ne pas planter le processeur. Ici, ce filtre était constitué de deux condensateurs de 0.22uf chacun. Lors d'un choc important, ces deux composants passifs étaient, par le fait, isolés du THT. Le processeur SDA 2023 recevait alors une information classique niveau haut + toute la HF parasite en pleine tronche via l'information de sécurité "Schutz", véhiculée elle-même par l'info de frein de faisceau moyen "SB" qui plantait aussitôt le cerveau de l'appareil. Pour les non-initiés, c'était une recherche de panne fastidieuse, mais heureusement rarissime…


Depuis les années 60, Grundig s'efforçait de préserver la surface de ses tubes cathodiques en neutralisant le spot lumineux lors de l'extinction du téléviseur, dans le but d'éviter tout dommage à la dalle, avec plus ou moins de succès d'ailleurs ! Afin d'obtenir des résultats optimaux, il était impératif d'intervenir dans trois cas de figure:

-- A la mise en veille.

-- Lors de la mise en sécurité.

-- A la moindre coupure EDF.

Il faudra attendre le CUC 4000, pour profiter, dans la durée, du respectable transistor S298T assurant une meilleure efficacité par sa rapidité de commutation en fonction veille ou sécurité. Cliquez ici pour en comprendre le fonctionnement.


En France, l'exploitation exclusive du télétexte européen CEEFAX débutait à partir du CUC 4000 chez Grundig. Sauf erreur de ma part, Antiope fut abandonné à partir du CUC 3000. Le CUC 2000 fut le seul à proposer un module mixte Antiope / CEEFAX.

Les téléviseurs haut de gamme étaient désormais livrés avec le télétexte intégré, tandis que sur les modèles plus basiques en 50Hz, il devenait possible d'ajouter un module VT 4005 optionnel, disponible à l'achat au prix de 269 francs. Ce télétexte de première génération, WST (World System Teletext), ne permettait pas de mémoriser plusieurs pages, mais seulement de progresser pas à pas ou par numéro de page. Il évoluera rapidement vers le standard TOP dès 1991, puis vers TOP FLOF à partir de 1993. La technique du télétexte était relativement simple. Il fallait décoder les informations des lignes 19-20 et 332-333, qui étaient réservées à cet effet, et ignorer la vidéo de la chaîne en cours. Sous condition d'une réception sans échos excessifs, l'ennemi juré du télétexte comme d'ailleurs un surplus de gain. En cas de caractères erronés, il était nécessaire d'atténuer le signal d'antenne et d'ajuster progressivement un potentiomètre jusqu'à ce que le phénomène disparaisse. En théorie du moins parce que la pratique était bien souvent différente ! On a tous connu le sommaire page 100 du Télétexte de la 2 et consulté les dernières nouvelles ou le loto sur ce support une fois dans notre vie.


Le design moderne du téléviseur P45-445 Euro allait séduire les jeunes. Cependant, il pouvait également les surprendre avec un problème de zapping intermittent causé par un récepteur infrarouge de nouvelle génération, le TFMS 3300, qui se révélait trop sensible au soleil (vite résolu).


Le deuxième modèle de TV 50Hz à tube 110° (PHILIPS) 55cm M55-575 MULTI que j'ai possédé des décennies, faisait son apparition. Je me suis toujours demandé comment les CUC 4620 et 4635 pouvaient être rentables de par la pléthore de composants et cartes enfichables (schéma complet en bas de page). On pouvait recenser de nombreux modules dont deux de commande (processeurs maître et esclave), tuner, FI synchro, Chroma, base de temps trame, BF et en option, le télétexte. La mise en veille sur cette gamme de TV arrêtait totalement l'alimentation par mise à la masse de la pin 5 du TDA 4600. Il fallait donc une tension permanente en stand-by, qui ici, était succincte. Elle était prélevée directement sur le secteur redressé, limitée en puissance par une résistance de 6K8 en 7 watts, transitait par une diode 1N4007 et réduite à 15V par une diode Zener. Pour être filtrée a minima puis régulée à 5v par un MC 78L05. Le fait de mettre la LED de veille en série sur la ligne du 15V m'a toujours laissé perplexe. Et comme on prélevait une tension du secteur tout en devant respecter l'isolation d'un châssis froid, il fallait utiliser des optocoupleurs pour les ordres qui arrivaient et partaient du processeur maître à la fiabilité relative. Grundig exploitait soit un MC 68HC04J3 (20 pins), soit un XC 94308 (28 pins) pour cette fonction. La gestion SAV de ces modules CI Inter secteur présentait une complexité extrême. L'indisponibilité prématurée de certaines versions nous obligeait à faire des modifications à n'en plus finir. Très onéreux tout ça!!!!. Et pourtant je vénérais mon CUC 4620.

Lors du dernier trimestre de 1990, Grundig eut l'idée brillante de lancer le téléviseur TVC 7000 Euro équipé du CUC 4510 F. Il comportait un ingénieux logement de 435 mm de large sur 90 mm de haut, protégé par une grille amovible, conçu pour accueillir un magnétoscope compatible avec tous les VHS de la série 600. Ce produit fiable fut officiellement présenté dans la Grundig revue de 1991. L'année suivante, la version TVC 7005 Euro fit son apparition, dotée d'un tube Black Line offrant un meilleur contraste et, surtout, d'un masque Invar qui garantissait de meilleures performances thermiques, éliminant les tâches à l'écran, toujours en 70 cm. La deuxième génération était équipée du châssis CUC 4511 F. Un concept vraiment ingénieux qui, malheureusement, ne sera jamais reproduit. Que de souvenirs ! Voir ici ou dans la colonne de gauche, la fiche produit du TVC 7000 Euro.


Les premiers écrans Black Line puis Black Line S apportant une réelle amélioration du contraste en 63 et 70cm (+ masque en Invar supprimant, je le répète,  les tâches sur zones claires sur les 55, 63 et 70 cm) commençaient à équiper certains modèles. Consultez ici l'histoire des tubes cathodiques couleur. La destruction chronique du TEA 5101A à l'extinction sur le CI tube donna du fil à retordre aux ingénieurs allemands. Le remède fiable n'apparaîtra que 6 ans plus tard. Lire ici la malédiction des tubes cathodiques Black Line. Suivant votre navigateur, visionnez ou téléchargez ici ou ci-dessous, la vidéo d'un M55-575 italien avec vue sur les modules incluant une FI non Multinorme. Son châssis s'apparentait au CUC 4620 de chez Grundig France. Mais à y regarder de plus près, son alimentation était basée sur un TDA 4605 avec optocoupleur à proximité pour la régulation. La version française exploitait encore le TDA 4601. Ce n'était donc déjà plus un CUC 4620 mais bien un CUC 5820 rare à l'époque en Europe.


Les téléviseurs mono T63-340 Euro et T70-340 Euro connurent un immense succès dès 1987 et pendant encore 3 ans. Ces modèles, simples d'utilisation, étaient dotés d'un écran à coins carrés, d'une télécommande et affichaient un prix abordable. Leur technologie relativement fiable en faisait une source de revenus garantie pour les artisans. Si bien sûr, on passe sous silence les éventuels problèmes de l'amorçage du tripleur et les incessantes modifications de l'alimentation à monotransfo. De nombreux techniciens non-initiés de l'encore CUC 3410 en fin de vie pouvaient se décourager face à ces défis techniques. Il y avait de quoi être déboussolé avec les différentes versions du TDA 3640 (V2, S1) et enfin le TDA 3645, qui étaient bien entendu incompatibles entre elles. Sans oublier la valse des composants gravitant autour. Rappel ici du fonctionnement et des modifications de l'alimentation à base de monotransfo et de ses principales pannes.


Le téléviseur portable P25-449/12, conçu pour fonctionner sur batterie entre 10 et 30 volts et sur secteur de 80 à 260 volts, était introduit sur le marché. Un modèle particulièrement apprécié des chauffeurs routiers et des bateliers en raison de sa petite taille et de sa réception HF quasi mondiale dans la zone de réception de l'émetteur. Mon globe-trotter préféré avec son fidèle tube HITACHI et son excellent CUC 4200.


Remplacement du magnétoscope haut de gamme par le VS 665 EURO HIFI que j'ai possédé surnommé: "la boite à pain". Un produit fiable et équipé d'un excellent mécanisme japonais Panasonic MVS V avec une recherche visuelle arrière plus réactive grâce à un moteur supplémentaire. Il offrait des performances vidéo et sonores (HIFI) honorables et surtout, comme toute la série des VS 6xx, devenait enfin totalement compatible avec Canal+. Il était dommage de devoir attendre plus de 5 ans pour bénéficier d'un magnétoscope capable d'enregistrer de manière autonome une chaîne cryptée. Les Allemands n'étaient pas très réactifs à ce niveau-là ! On découvrait également la nouvelle gamme basique comprenant les VS 600 FR, VS 620 FR, VS 625 Euro qui sera ajouté en cours d'année et VS 645 Text Euro équipés cette fois de la mécanique Panasonic MVS IV. Je ne leur accorde pas 5 étoiles pour l'unique raison que sans télécommande, plus de programmation possible. Il convient de noter que les modèles VS 500 et 505 FR de la génération précédente n'avaient reçu que trois étoiles pour la même raison et l'absence de compatibilité totale avec Canal+.


La firme Grundig de Nuremberg continuait de concevoir et fabriquer ses TV en toute indépendance de son nouvel actionnaire principal Philips qui jettera l'éponge en 1997.

Mecanisme VHS MVS IV Panasonic
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Mecanisme VHS MVS V Panasonic
Cliquez ici pour visualiser la fiche produit du TVC 7000 EURO
Schematheque Grundig TV Video
ST 95-595.9 TEXT

TV haut de gamme CUC 5891 (50 Hz) 1990: ST 95-595/9 TEXT.
TV haut de gamme CUC 4890 première génération 100 Hz 1990: M70-100 HDQ.

M70-100 HDQ
VS 665 EURO HIFI

Magnétoscope haut de gamme 1990: VS 665 EURO HIFI.

Appareil récompensé par un IF Design AWARD en 1990

Revue GRUNDIG FRANCE TV-VIDEO 1990 et son histoire.
Déverrouillage parental et accès aux menus service ici
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  GRUNDIG Passion - 1930.80 Al - 81.2011 Al - 1983.1985 - 1986.1989 - 1991.92 - 1993.94 - 1995.96 - 1997 - 1998 - 1999 - 2000 - 2001 - 2002 - 2003 - 2004

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