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<<  L'ICC2  >>

Mise à jour du 26/11/2024







C'était tout simplement le grand frère de l'ICC1, spécifiquement conçu pour les tubes 110° type P.I.L. S4. Sa caractéristique la plus distinctive résidait dans le tripleur, désormais intégré au THT (DST). En Europe, il exista un vidéoprojecteur Thomson TVP-01 équipé d’un châssis ICC2P, doté cette fois d’une véritable alimentation à découpage PA-TVP.


  

Les documents commerciaux et techniques de L'ICC2.

  • Revue commerciale si possible.

  

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Thomson et son neuvième châssis couleur français ICC2.

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1981

L'ICC2 fonctionnait sur la base de l'ICC1, à quelques nuances près, compte tenu de la nature des écrans. Sans oublier le téléviseur haut de gamme HIFI Brandt en photo ci-dessus qui nécessitait quelques adaptations. Les circuits intégrés étaient communs, hormis les commandes de synchros, uniquement chapeautées par le TDA 2593F, et l'ampli trame par le TEA 1020.


La commande Est/Ouest, incontournable sur ces tubes à déflexion 110°, était pilotée par un classique modulateur à diodes via une commande par transistor BF 760.


On retrouvait toujours une alimentation reposant sur le procédé "découpeur Boost", dont la définition est détaillée dans le chapitre ICC1, à l'électronique renforcée en raison de la consommation énergétique accrue liée aux écrans de 56 cm et 67 cm. La tension HT1 devait être mesurée à 135 V. Par ailleurs, il ne faut pas oublier qu’un ampli BF Hi-Fi, tendance émergente à l’époque, pouvait également se montrer particulièrement gourmand.


Les ICC1 et ICC2 n’intégraient pas encore l’utilisation du bus relié au processeur, contrairement au futur ICC3, qui n’exploitera pas pour autant le bus I²C de Philips. Toutefois, le cut-off automatique, destiné à assurer la stabilité des couleurs en fonction de l’usure du tube, était déjà présent dès l’ICC1 comme chez Grundig depuis le CUC A.